mardi 2 décembre 2014

Nous ne sommes pas seuls dans la marmite

Après une pause d'été un peu plus longue que prévu, je reprends enfin le clavier pour partager avec vous une émission radio de France Culture et j'en profite aussi pour confirmer que ce blog est bien vivant ! Dans mon prochain article je partagerai mes premières expériences pendant les huit premiers tours de chélation selon le protocole Cutler, et je vous parlerai aussi de mes premières erreurs. Étant débordé par le travail, la nouvelle maison ainsi qu'un état de santé précaire dû à ces erreurs commises durant la chélation, je ne pourrai pas terminer le prochain article avant les fêtes. Laissez moi des commentaires si vous êtes intéressé(e)s.

Mais pour nous donner un peu d'espoir, voici une émission de France Culture qui parle des "mercuriens", les intoxiqués au mercure et aux métaux lourds. Je dois avouer que l'idée que ces connaissances soient transmises à la radio me soulage et ouvre des perspectives pour tant de personnes qui passent de médecin en médecin sans trouver la cause des causes. Quelle cause ?


LA SOUPE ! C'est-à-dire ce bouillon de toxines dans lequel nous baignons chaque jour, du matin au matin suivant: aluminium, pesticides, insecticides, fongicides, phtalates, bisphénols, cadmium, arsenic, plomb, mercure, ignifuges, colles et autres produits toxiques contenus dans les peintures, le plastique, les textiles, le bois contreplaqué ou mélaminé, les moisissures, sans oublier les toxines relarguées par les parasites qui aiment coloniser nos organismes pollués et pour finir, les champs électro-magnétiques, les micro-ondes et autres Wifi, DECT et Wimax.

Ce bouillon est traitre. Pourquoi ? Parce qu'on nous a plongés dedans quand sa température était agréable. Comme dans l'allégorie de la grenouille dans la marmite qui chauffe doucement mais sûrement, nous nous demandons pourquoi il fait si chaud tout d'un coup : j'ai mal ci, j'ai mal là, je ne me sens plus le même, j'ai des migraines, des éruptions cutanées, des problèmes de mémoire, d'irritabilité, de dépression, je suis devenu allergique, je passe d'un symptôme à un autre, j'ai une maladie chronique ou autoimmune alors que je fais du sport, je mange bien, je ne fume pas et je bois avec modération, mais alors qu'est-ce qui m'arrive ? Et bien ce qui nous arrive, c'est que nous serons bientôt cuits à point...

Il s'agit alors de prendre conscience de notre situation et de sauter hors de la marmite tant qu'il est encore temps. J'ai pris conscience de cela grâce aux recherches poussées auxquelles le récent plongeon de ma santé m'a acculé. Parfois un bon vent nous guide et ce qu'on croyait être une impasse se révèle être une porte vers un champ bien plus vaste que nos attentes nous laissaient soupçonner. En cherchant désespérément une solution, je suis tombé sur des médecins, des vrais thérapeutes, des guérisseurs qui mériteraient le prix Nobel de médecine, des personnes qui ont du succès à guérir l'autisme, le parkinson, le déficit de l'attention et d'hyperactivité, le diabète, la dépression, la schizophrénie, lyme et autres maladies chroniques, toutes ces maladies que notre médecine officielle déclare incurables ou alors traite à vie, à grand renfort d'encore plus de chimie. Et pourquoi ces thérapeutes arrivent à les guérir ? Parce qu'ils regardent du côté de la véritable cause: la soupe dans la marmite. Le discours officiel veut qu'environ 5% des maladies seraient d'origine environnementale. Un de mes médecins m'a clairement fait comprendre qu'en réalité les proportions sont inversées: la plupart des maladies de nos jours trouvent la cause des causes dans la pollution et l'empoisonnement de notre milieu de vie.

Néanmoins ces découvertes m'ont rempli de joie car j'ai entrevu la possibilité de guérison non seulement pour moi, mais pour beaucoup de personnes souffrant de maladies chroniques mais laissées pour compte par un système médical jugulé par les intérêts financiers. En fait, nous sommes tous concernés, parce qu'on ne peut pas vraiment sortir de la marmite. La marmite c'est notre mère la terre et à moins d'habiter sur une île déserte quelque part dans l'atlantique (et même là nous ne sommes pas à l'abri des accidents nucléaires et de la pollution de l'air et des océans), on ne peut qu'apprendre à rester en bonne santé dans la soupe. Et comment ? En procédant à une bonne détoxification majeure, qu'on entretiendra par des petites détox au printemps et à l'automne.

Il est évident que ce que j'ai appris va largement dépasser le cadre initialement prévu pour ce blog qui devait se consacrer à l'intoxication chronique au mercure acquise par les amalgames dentaires et à la chélation du mercure. Ce sujet est bien sûr toujours d'actualité, mais n'est plus le fin mot de l'histoire.  En fin de compte, le titre que j'ai choisi pour ce blog annonçait déjà en quelque sorte le dépassement du simple cadre de la chélation des métaux lourds. Il s'agit désormais de permettre à notre corps de se débarrasser d'un trop plein de toxines, de permettre à nos cellules de respirer à nouveaux. Il s'agit aussi d'unir nos forces et nos connaissances pour savoir comment rester en bonne santé, comment recouvrer la pleine santé dans la soupe ?

Peut-on encore y croire ? Oui, on peut ! La chélation du mercure ne peut pas être séparée de la chélation des métaux lourds en général, et la chélation en général ne peut pas être séparée de la détoxification de l'organisme jusqu'au niveau intracellulaire. Et cette détoxification ne peut pas être séparée des maladies chroniques, neurodégénératives et auto-immunes, qui, elles, ne peuvent finalement pas être séparées de la soupe. Et quant à la soupe, il y a des moyens d'en guérir et de s'en protéger. Nous devrons nous prendre en main, faire nous-mêmes nos recherches et partager le fruit de nos expériences.
 
Mais avant de se lancer dans ce grand projet de la régénération, il est bon de savoir que nous ne sommes pas seuls et que le message est relayé par la presse. Voici le lien vers l'émission:

http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4904704

Bonne écoute et bonnes fêtes de fin d'année à tous.

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